mardi 3 mai 2011

Du poulpe, s'il vous plait...


Je n'ai encore jamais lu de Lovecraft et son fameux ctuhlu, L'Ogre oui et son avis m'en a un peu dissuadé. Je me promenais dans les rayons de la librairie de Wallsend quand je vois dans le nouveautés: China Miéville... Bien. Des livres difficiles à s'imprégner mais une fois conquis... Kraken? Tiens une histoire de poulpe?

Oui une histoire de poulpe, de poulpe en bouteille... et de la taille d'un semi-remorques. L'histoire flirte avec le surnaturel, dans un Londres qui est une entité vivante. On parle de culte tous plus frapadingue les uns que les autres. Au début, j'étais perdue, mais une fois que les micsmacs s'éclaircissent que les personnages se développent un peu. C'est bon, on est pris. Tous comme pour les Scarifiés et "The city and the city", une fois mordue, on l'est bien, mais que le début est scabreux. Je pense que cela vient aussi de l'originalité de l'auteur. Au fur et à mesure de mes lectures de fantasy et fantastique, j'ai commencé à me mettre des shémas dans le crâne et avec China Miéville, tout est nouveau à refaire. Il est vraiment original, pas pour rien qu'il a gagné deux fois le prix arthur clark.

Je crois que je vais me reposer un peu avec quelques lectures simples: "Needles and pearls" et "Brightly Burning" avant de me mettre à la recherche d'un autre China Miéville, peut-être celui de fantasy pour enfant.

Hum, pour le résumé, ca va être dur, je vais me contenter de vous traduire l'accroche:

Un vol impossible (ndlb: tout à fait vrai)
Une bête légendaire (ndlb: cthuhlu nous voici)
Une guerre sainte (ndlb: en plein Londres)

1 commentaire: